Chers élèves et chers enseignants,
Huit ans déjà que la maison d’édition « Les Classiques Ivoiriens » est née avec le double objectif de :
1. Mettre à disposition des ouvrages de qualité tant sur la forme que le fond.
2. Rapprocher les ouvrages de nos partenaires de l’éducation.
A la date d’aujourd’hui, nous pouvons affirmer que ces objectifs ont été atteints :
1. La collection « Je lis et j’écris » des Classiques Africains a été conduite jusqu’à la classe de CM2 avec des réaménagements périodiques pour toujours coller au programme scolaire en vigueur.
2. Des collections nouvelles ont été créées :
• – Au niveau de la maternelle : la collection « J’apprends à la maternelle » de la petite à la grande section avec des ouvrages de graphisme/lecture, mathématique/éveil et arts plastiques.
Des planches de maternelle seront produites et mises sur le marché pour la première fois par un éditeur ivoirien.
• – Au niveau du primaire trois collections complètes ont été produites : La collection « Start Easy » en anglais du CE1 au CM2
La collection « Cristal » en mathématiques du CP1 au CM2
La collection « cacatoès » en mathématiques et français au CP1 et CP2
• – Au niveau du secondaire des annales en mathématiques avec les collections « AVOMATHS » en terminale C et D et la collection « Annales africaines de mathématiques » en terminale S.
Dans le même temps, Les Classiques Ivoiriens ont produit plusieurs ouvrages de littérature enfantine, de jeunesse et de littérature générale.
En littérature enfantine :
• – la collection « Bibi n’aime pas » de Muriel Diallo dont certains ont été primés par le prix Saint Exupéry.
• – la collection « Siggly » de Michelle Tanon-Lora.
• – la collection de contes bilingues (français-anglais) avec 3 titres.
En littérature générale :
La collection POUCHKINE de Biton Koulibaly avec 10 titres et plusieurs autres romans de jeunes auteurs mais aussi d’auteurs connus.
La culture et l’éducation représentent des challenges importants pour notre continent.
Les Classiques Ivoiriens, « l’éditeur au service de la connaissance », entend faire partie de ces « Africains » qui les relèveront.